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Invitation adressée aux firmes afin de déposer une “SOUMISSION” en réponse aux travaux et exigences décrits dans un “DEVIS”. L’appel d’offres peut être public, c’est à dire ouvert à toutes les firmes intéressées, ou sur invitation, c’est à dire envoyé à certaines firmes sélectionnées au préalable.
Il s’agit d’un boîtier comprenant plusieurs compartiments qui accueillent les services câblés de distribution. Il peut parfois être surmonté d’un lampadaire.
C’est une base appelée à recevoir l’appareillage pour la recharge de véhicules électriques.
Il s’agit d’un CONDUIT qui relie le réseau souterrain à un bâtiment ou à du mobilier urbain qui nécessite une alimentation électrique ou de télécommunications.
Ce type de cabinet est utilisé pour isoler et protéger les sections du réseau électrique, facilitant ainsi les opérations de maintenance et de réparation.
C’est un câble de desserte électrique locale dont la tension est inférieure à 600 volts.
C’est une expression qui vise à englober tous les bâtiments (habitations, écoles, etc.), les espaces (parcs, routes, zones commerciales ou agricoles, etc.) ainsi que les produits (réseaux câblés, métro, etc.) créés dans un espace déterminé.
C’est une construction isolée souterraine ou en surface dont les murs, le plafond et le plancher sont résistants au feu. Sont installés à l’intérieur les transformateurs ou d’autres appareils électriques.
C’est une conduite ou canalisation principale à l’intérieur de laquelle se déversent les conduites secondaires d’un réseau d’égout pluvial ou d’assainissement des eaux usées.
C’est l’autorisation formelle qu’une personne doit obligatoirement obtenir avant d’accéder aux structures de la CSEM. Cette démarche permet de veiller à ce qu’il n’y ait aucune manœuvre par les propriétaires de câbles de moyenne tension dans le réseau au moment de la visite, ce afin de garantir la sécurité des personnes.
Il s’agit d’un tube en PVC ou en fibres ou encore en terracotta, au sein duquel on insère les câbles électriques et de télécommunications au sein d’un réseau enfoui. Les conduits sont généralement enchâssés dans un massif (d’où l’appellation complémentaire couramment utilisée : massif de conduits).
Il s’agit d’un conducteur faisant partie du système de mise à la terre. Il est enfoui dans le sol.
C’est l’action de passer d’une entrée aérienne à un coude au mur. Il s’agit alors d’une conversion d’entrée électrique ou télécom. Ce sont tout simplement des projets d’enfouissement. (Par ailleurs, dans les travaux d’enfouissement il y a des “conversions”, des “déplacements hors rue”, des “constructions de LAS”, de “cabinets”, de “socles”, etc).
C’est l’autorisation du département de la ville en charge des déplacements temporaires des fûts de circulation et des bases de lampadaires lors des travaux de la CSEM.
C’est une demande d’autorisation de travaux délivrée par la municipalité via un formulaire en ligne transmis aux gestionnaires municipaux avant d’effectuer une intervention dans l’emprise publique afin de coordonner les différents chantiers et de gérer les trajets des services d’urgences et de transports collectifs. Il existe également un formulaire téléchargeable sur notre site.
Dans le cadre d’une demande d’autorisation d’occupation du domaine public, il s’agit d’un formulaire à transmettre aux arrondissements concernés avant d’entreprendre des travaux sur le domaine public placé sous leur juridiction afin que ces derniers effectuent les vérifications et coordinations préalables permettant d’assurer le bon déroulement des chantiers.
C’est un document qui décrit le détail des travaux et services à réaliser ainsi que les exigences administratives et techniques à respecter.
Ce sont l’ensemble des terrains qui n’appartiennent pas au domaine public.
C’est l’ensemble des espaces affectés à l’usage direct du public : rues, ruelles, squares, places publiques, jardins publics, esplanades, etc.
Il comprend également les trottoirs, terre-pleins, escaliers, voies cyclables hors rues ainsi que l’emprise excédentaire de la voie publique, les pièces d’eau (étangs, lacs, etc.) et les cours d’eau.
Il s’agit d’une personne physique ou morale (organisation, entreprise, association) qui engage une firme spécialisée dans le cadre de la réalisation d’un service ou de travaux.
Il est parfois appelé le maître d’ouvrage.
Il s’agit d’un terrain situé entre les lignes de propriété qui séparent les domaines publics et privés. Elle est généralement destinée à accueillir les services publics.
Ce sont les travaux, événements ou équipements qui sont de nature à restreindre ou gêner la circulation des personnes et des biens (automobiles, camions, vélos ou piétons).
Il s’agit d’un branchement qui peut être latéral, en façade ou même à l’arrière d’un bâtiment et qui vient s’y raccorder, ce pour tous les types d’infrastructures.
C’est un trou dans le sol causé par l’enlèvement de matériaux. Les excavations peuvent varier en taille et en forme, mais elles sont généralement plus larges que profondes.
C’est un document produit par la CSEM pour indiquer le positionnement, les longueurs, l’occupation, etc. des conduits actuellement existants dans une structure appartenant à la Commission des services électriques de Montréal.
C’est un document produit après la construction par la CSEM afin d’indiquer le positionnement et les longueurs des conduits construits dans une structure de la CSEM.
C’est un document produit par la CSEM afin d’indiquer le positionnement des futurs conduits dans une structure CSEM.
Il s’agit d’une immense conduite souterraine qui ceinture l’île de Montréal. Viennent se déverser dans celui-ci les collecteurs afin d’acheminer les eaux usées jusqu’à la station d’épuration.
C’est l’action de faire une inspection d’une structure via un système de caméra 3D pour avoir une représentation de la structure et de la visualiser sans être physiquement à l’intérieur.
Il s’agit d’une personne physique ou morale en charge de la réalisation de travaux demandés par le donneur d’ouvrage (ou maître d’ouvrage).
Il s’agit d’un groupe de conduits enrobés de béton. Il relie souvent deux structures du réseau, mais pas exclusivement. Un massif de conduits peut en effet joindre un autre réseau tiers, une LAS, un bâtiment comme un poste Hydro-Québec, un hôpital, une industrie, etc.
Il s’agit du lien physique qui permet de raccorder les structures électriques au sol afin d’évacuer le courant électrique de façon sécuritaire en cas d’urgence.
Il est également appelé Nord du quadrillage. C’est la direction indiquée par les lignes de quadrillage sur une carte.
Il est utilisé en géodésie afin de désigner la direction du nord basé sur un système de coordonnées géodésiques. Ce système est utilisé pour les plans numériques de la CSEM.
C’est la direction Nord indiquée par l’aiguille d’une boussole, qui s’aligne avec le champ magnétique terrestre.
C‘est la direction indiquée par une ligne imaginaire de référence où la rue Saint-Laurent à Montréal est choisie comme l’axe de référence nord-sud afin de déterminer l’orientation de tous les murs des structures de la CSEM.
Une partie prenante est un acteur, individuel ou collectif (groupe ou organisation), activement ou passivement concerné par une décision ou un projet ; c’est-à-dire dont les intérêts peuvent être affectés positivement ou négativement à la suite de son exécution (ou de sa non-exécution).
Il s’agit d’un boitier d’équipements de télécommunications hors sol qui est installé sur une base en béton.
Ce sont des plans des feux de circulation, d’éclairage des rues ainsi que toutes les autres types de bases.
Le terme géométrie fait référence à la configuration et aux dimensions des éléments de la surface à rénover.
Il s’agit d’une personne ou d’une organisation qui développe des projets immobiliers, résidentiels ou commerciaux.
Il s’agit d’une structure qui est généralement située en bordure du trottoir et qui permet de capter l’eau de surface afin de la diriger vers les égouts pluviaux.
Il s’agit d’une chambre de béton qui permet d’accéder aux équipements des réseaux souterrains électriques ou de télécommunications.
Il s’agit d’un aménagement qui permet le passage de câbles du réseau souterrain au réseau aérien le long d’un poteau ou d’une structure.
(L’expression « raccordement aérosouterrain » (RAS) n’est plus du vocabulaire technique actuel. Elle a été remplacée par l’expression « Latérale Aéro-Souterraine » (LAS) qui est maintenant le terme à utiliser, car il est universel parmi les 3 organismes qui les construisent soit Hydro-Québec Bell et la CSEM).
Il s’agit du système de facturation annuelle aux usagers selon leurs métrages de conduits alloués dans le réseau de conduits de la CSEM.
C’est un terme utilisé afin de désigner la réfection (rénovation) de la tranchée et de la surface.
Il s’agit d’une chambre aménagée au dessus d’une conduite d’eau, d’égout ou de tout autre service public afin d’en faciliter l’entretien et la surveillance.
C’est un formulaire équivalent à un bon de commande. Elle est utilisée pour des travaux à réaliser par des entrepreneurs mandatés par la CSEM.
C’est un réseau d’égouts dans lequel les eaux sanitaires ainsi que les eaux de pluie sont canalisées dans des conduites séparées.
Dans l’article en lien, vous trouverez la définition, les caractéristiques et des illustrations des trois types de réseau d’égouts municipaux couramment utilisés au Québec :
C’est un réseau d’égouts dans lequel les eaux sanitaires et les eaux de pluies sont canalisées au sein des mêmes conduites.
Ce sont les infrastructures et équipements relatifs aux services de télécommunications et aux réseaux d’énergies (électricité, gaz, vapeur).
Cette expression est utilisée pour évoquer la situation d’une structure dont l’intégrité structurelle est compromise. Elle est signalée par l’IPC, une inspection par Hydro-Québec ou bien la CSEM, ou encore le signalement d’un usager. Cela bloque l’accès aux structures identifiées par mesure de sécurité.
Cette expression est utilisée pour parler de la situation d’un ou plusieurs câble(s) défectueux et qui est signalée par un propriétaire de câble électrique comme Hydro-Québec, la STM et la Ville de Montréal Cela bloque l’accès aux structures identifiées par mesure de sécurité.
Il s’agit d’un(e) propriétaire ou occupant(e) qui possède une frontière directe sur le domaine public trottoir, chaussée, parc, etc. Un riverain peut être une école, un hôpital, une église, mais dans le vocabulaire actuel on parle de partie prenante : le mot riverain(e) est appelé a disparaitre du vocabulaire et n’est plus d’actualité.
Il s’agit du droit donné par un propriétaire immobilier à un autre propriétaire d’immeuble de passer sur son terrain ou d’y intervenir. Par exemple, Hydro-Québec dispose d’une servitude sur tous les terrains du Québec lui offrant le droit d’accéder à ses propres équipements.
Il s’agit de la base sur laquelle repose une autre structure.
C’est un document écrit par lequel un fournisseur propose de vendre un bien ou d’offrir un service en contrepartie d’un certain prix.
Il s’agit d’une vérification des composantes électriques de basse et moyenne tension, afin de cibler toute anomalie potentielle. Si une anomalie restrictive est détectée, l’accès à la structure est alors interdit.
C’est un type spécifique d’excavation où la profondeur dépasse la largeur. Les tranchées sont souvent utilisées pour installer des canalisations, des câbles ou d’autres infrastructures souterraines.
C’est un équipement qui permet de convertir la tension électrique.
C’est le nom donné à un équipement utilisé pour abaisser la tension de l’électricité à un niveau utilisable pour les clients résidentiels et commerciaux.
C’est le nom donné par la CSEM aux occupants de ses conduits. Leur mission est généralement de délivrer un service câblé.
C’est le nom donné par la CSEM aux différents occupants de ses conduits, qui, de façon générale, n’ont pas pour mission de délivrer un service câblé.